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Layering Capillaire Home Made

On entend de plus en plus parler de layering capillaire qui emboîte le pas à l’incontournable layering  (soin de beauté du visage) qui consiste à superposer les soins en appliquant plusieurs couches de produits cosmétique. Je vous en avez déjà parlé ici. Le layering dédié aux cheveux proposés dans le commerce comporte souvent une phase avant shampooing (masque nourrissant), suivi d’un shampooing ciblé, d’une pose d’après shampooing, et d’un sérum de soin. 

Cela ressemble beaucoup a ce que j’utilise moi aussi, mais j’avais envie d’aller plus loin et de créer une routine complète avec des produits complémentaires, agissant en synergie, pour booster la chevelure et la magnifier. Je vous conseille avant de vous lancer de consulter mon diagnostic capillaire  

Je vous propose donc aujourd’hui un programme de layering capillaire Home Made complet qui j’espère vous plaira !

Phase 1  Préparer la chevelure – Lotion préparatrice

Composé uniquement de phase aqueuse, et riche en agent hydratant et humectant, son but est d’ouvrir les écailles des cheveux afin de permettre aux principes actifs et aux soins de mieux pénétrer au coeur du cheveu. Appliquer la lotion des racines aux pointes. Masser le cuir chevelu pour activer la micro-circulation. Vous pouvez utiliser ma lotion hydratation intense. Les personnes n’ayant pas les cheveux poreux devront réguler le pH de leur lotion entre 7 et 8.

Phase 2  Nourrir en profondeur – Baume Nutri réparateur

Composé uniquement de corps gras et d’émulsifiant, le masque va rebooster vos cheveux et leur redonner de la texture.  Il  relipide profondément la fibre capillaire en enduisant le cheveu de façon homogène, pour un soin plus profond. Vous pouvez utiliser ce masque tres efficace ou mon baume fondant.

Etape 3  Laver en douceur – Shampooing doux

Eliminer en douceur tous les résidus d’huile restant de l’étape précédente et les salissures,  est indispensable. Quelque soit le type de cheveux, il est impératif d’utiliser des shampooings formulés avec des tensio actifs doux, comme celui ci ou bien mon shampooing dynamisant, afin de ne pas agresser la fibre capillaire. N’oubliez pas de shampouiner délicatement vos cheveux et de les manipuler avec précaution.

Phase 4   Faciliter le demelage – Apres shampooing

Après l’étape shampooing, on ne fait surtout pas l’impasse sur l’après-shampooing démêlant notamment pour les cheveux colorés, fragilisés, secs et frisés.

Appliquer le uniquement sur les longueurs et les pointes (éviter les racines), Pendant le temps de pose, démêler aux doigts, puis  rincer à l’eau tiède pendant quelques minutes.  Vous pouvez utiliser cet apres shampooing nutritif, la creme démélante au coco ou mon gel après shampooing.

Phase 5 Le rincage – Vinaigre de rinçage

Ajouter deux cuillères a soupe de vinaigre a votre dernière haut de rinçage afin de resserer les cuticles des cheveux. Vos cheveux sont beaucoup plus beaux et brillants. Vous pouvez également utiliser mon eau de soin prête à l’emploi.

Phase 6 Le séchage

Pour ne pas agresser les cheveux, la solution c’est de les sécher à l’air naturel. Si vous tenez absolument au sèche cheveux, régler la température pour que la chaleur soit la plus douce possible ou utiliser directement la position « air froid ». Le mieux est d’investir dans un appareil qui possède la fonction ioniceramic qui limite l’électricité statique  et renforce l’efficacité des soins capillaires non rincés, en garantissant une belle brillance.  Utilisez aussi mon spray protecteur pour lissage et brushing.

Phase 7 Hydratation quotidienne – Sérum/Crème

N’oubliez surtout pas d’appliquer un sérum au quotidien sur les longueurs et les pointes. Appliquer chaque matin, il vous permettra de brosser vos cheveux plus facilement. Vous pouvez opter pour ma crème hydratante de jour pour cheveux. Pour les cheveux tres secs, on peut tout a fait faire suivre de l’application du baume fondant sur les pointes et les longueurs.

Enfin, je ne le classe pas dans le protocole de layering car l’usage est plus ponctuel. Mais il est nécessaire de temps à autre de détoxifier le cuir chevelu en réalisant mon gommage, hair scrub clarifiantqui purifie, oxygéne et stimule votre cuir chevelu. 

 

La transpiration – Perspiration

 

 

La sécrétion sudorale obéit à des incitations nerveuses qui arrivent de l’hypothalamus jouant un rôle de thermostat, et qui est situé dans le cerveau. La sécrétion se fait au niveau des glandes sudoripares.

Les glandes eccrines fabriquent une sueur composée à 99% d’eau venant des 2 à 3 litres d’eau que l’homme possède en réserve dans son organisme, et de 1% de sels minéraux. Cette sueur inodore s’évacue plus particulièrement au niveau des paumes, plantes des pieds, aisselles, front et poitrine.

Quant aux glandes sudorales apocrines, elles réagissent à l’incitation des fibres nerveuses dont le médiateur chimique est l’adrénaline. Ces glandes se situent dans les régions mal ventilées comme les aisselles. Ces régions étant propices à la macération, les microbes décomposent la sueur apocrine contenant des graisses, de l’ammoniaque et des acides gras volatils, engendrant des odeurs plus ou moins fortes.

L’excrétion se fait à l’aide des vaisseaux sanguins qui se dilatent et laissent passer la sueur dans les canaux sudorifères qui obéissent à un message du cerveau.

L’aisselle (axilla, axi  = axe en grec) est une zone de peau possédant des propriétés physiologiques particulières. Le nombre élevé de glandes sudoripares, l’effet d’occlusion et une transpiration accrue donnent à l’aisselle un pH de 6,5, ce qui est très nettement supérieur à la valeur physiologique normale de 5,5. Ceci provoque l’apparition d’une brèche dans le manteau acide protecteur. Dans cet environnement particulier, certaines bactéries se multiplient et s’épanouissent sur la peau. Elles produisent des substances générant une forte odeur grâce à la métabolisation du sébum et de la sueur. Cette odeur a du mal à s’évaporer en raison de l’effet occlusif de l’aisselle.

Les déodorants servent à prévenir efficacement l’odeur corporelle et son développement. Pour y parvenir, on utilise divers principes d’action et associations d’ingrédients :

  • Les substances antibactériennes (antiseptiques) et la création d’un pH acide empêchent le développement de bactéries générant une odeur.
  • Les anti-perspirants réduisent la transpiration.
  • Certains principes actifs fixent les substances générant une odeur.
  • Les parfums masquent les odeurs corporelles.

 Les actifs de vos déodorants

The sweat secretion obeys incentives nerve coming from the hypothalamus acting as a thermostat, which is located in the brain. Secretion occurs at the level of the sweat glands.

The eccrine glands produce sweat composed of 99% water from 2 to 3 liters of water that man has in reserve in his body, and 1% mineral salts. This odorless sweat drains more particularly on the palms, soles, armpits, chest and forehead.

As for the apocrine sweat glands, they respond to the incentive of nerve fibers whose neurotransmitter is adrenaline. These glands are located in poorly ventilated areas such as armpits. These regions are conducive to maceration, microbes decompose apocrine sweat containing fats, ammonia and volatile fatty acids, resulting in more or less strong odors.

Excretion is through the blood vessels that dilate and let in plenty of sweat in the sweat ducts which obey a message from the brain.

The armpit (axilla, axi = axis in Greek) is an area of ??skin with special physiological properties. The high number of sweat glands, the effect of occlusion and increased sweating in the armpit give a pH of 6.5, which is significantly above the normal physiological value of 5.5. This causes the appearance of a breach in the protective acid mantle.
In this particular environment, some bacteria grow and thrive on the skin.

They produce a strong odor generating substances through metabolism of sebum and sweat. This scent is hard to evaporate because of the occlusive effect of the armpit.

Deodorant used to effectively prevent body odor and development. To achieve this, we use various principles of action and combinations of ingredients:

* The antibacterial substances (antiseptic) and creating an acidic pH prevents the growth of bacteria that generate odors.
* Anti-perspirants reduce sweat.

* Some active substances set generating an odor.
* The perfumes mask body odor.

Deodorant s assests

 

 

Source Rene Jacquemet

Dossier Soleil & Bronzage – Bien se Protéger

L’écran total, ça existe ?

Inutile de chercher un écran total, que ce soit en pharmacie ou dans les rayons du supermarché. Tout simplement parce que le véritable écran total n’existe pas. Une protection solaire, aussi efficace soit-elle, ne peut pas offrir une protection totale contre les rayons ultra-violets du soleil.

Seuls les vêtements le peuvent, et encore, pas tous. D’ailleurs depuis janvier 2007, une nouvelle norme européenne interdit la mention « écran total » et redéfinit les calculs d’indices de protection solaires. Aujourd’hui, l’indice le plus fort que l’on puisse trouver sur le marché est 50%20.

Choisir le bon indice

Le FPS (facteur de protection solaire) mentionné sur les emballages donne le niveau de protection contre les UVB du produit.

En effet, les rayons UVB sont les plus dangereux : ce sont eux qui provoquent les coups de soleil en brûlant l’épiderme insuffisamment protégé par les pigments de mélanine ; ils sont à l’origine de 90 % des cancers de la peau.

Les rayons UVA ne sont pas pour autant inoffensifs. Ils pénètrent plus profondément dans le derme, provoquant la destruction des fibres de collagène et d’élastine qui assurent la tonicité de la peau. Conformément à la règlementation européenne, les crèmes solaires doivent garantir une protection UVA au moins égale au tiers de la protection UVB. Par exemple, pour un facteur de protection de 30 contre les UVB, la protection UVA sera au minimum de 10.

Le choix de l’indice de protection ou FPS (facteur de protection solaire) dépend à la fois du type de peau  et des conditions d’ensoleillement (plage horaire et durée de l’exposition, altitude, latitude, etc.). Plus la peau est claire, plus l’indice de protection solaire doit être élevé. On distingue quatre catégories de produits selon leur FPS :

 

  • protection faible : FPS de 6 ou 10 ;
  • protection moyenne : FPS de 15, 20 ou 25 ;
  • protection haute : FPS de 30 ou 50 ;
  • très haute protection : FPS de 50%20.


Toutefois, ne vous laissez pas abuser par des FPS élevés. À partir d’un certain niveau, les différences en termes d’efficacité deviennent minimes. Un produit FPS 30 filtre 96,67 % des rayons UVB, contre 98 % pour un produit FPS 50.

En pratique, c’est le respect du mode d’emploi qui compte. Il est en effet prouvé qu’une diminution de 50 % de la dose à appliquer entraîne une diminution d’efficacité de 75 %. Autrement dit, mieux vaut un produit d’indice 20 ou 30 que l’on applique généreusement et souvent, qu’un indice 50 qu’on n’appliquera qu’une seule fois dans la journée.

 

En spray, en crème ou en lotion

Le choix du mode d’application ou de conditionnement (spray, lotion, ou crème) dépend de la zone d’application. Plus elle est étendue, plus le solaire devra être fluide.

Par exemple, on peut prendre une crème pour le visage, un spray pour le corps et un stick pour les zones fragiles (lèvres, nez). Enfin, il est préférable d’opter pour un produit revendiquant une résistance à l’eau. Une caractéristique qui a cependant ses limites et ne dispense en aucun cas d’une nouvelle application après le bain.
Outre les filtres faisant barrage aux rayons ultraviolets, la plupart des crèmes solaires comportent des antioxydants. Ils sont censés neutraliser les radicaux libres générés par les UV, avant qu’ils ne provoquent des dommages sur la peau.

 

Que choisir pour les enfants ?

La plupart des fabricants proposent aujourd’hui des produits dédiés aux enfants. Une segmentation purement marketing qui peut donner une fausse impression de sécurité aux parents. En réalité, ces solaires ne diffèrent pas des autres, si ce n’est par leur indice élevé (FPS 30 au minimum).
Enfin, en matière de crème solaire, le prix de vente n’est pas un gage d’efficacité. Certains produits vendus en grande surface sont aussi valables que ceux distribués en pharmacie (en moyenne plutôt de bonne qualité) ou en parfumerie (les plus chers).

Connaître sa peau pour bien se protéger

Le produit solaire doit être adapté à la fois à votre type de peau et à l’intensité du rayonnement solaire auquel elle est exposée. Pour bien choisir, les recommandations de l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) peuvent vous servir de guide.

Il existe 6 phototypes déterminés en fonction de la carnation, de la couleur des cheveux, de la présence ou non d’éphélides (taches de rousseur), de la capacité de l’individu à être victime de coups de soleil ou au contraire sa capacité à déclencher un bronzage.

• Phototype I : peau laiteuse (rousse), brûle toujours, ne bronze jamais, très nombreuses taches de rousseur.
• Phototype II : peau claire, brûle toujours, acquiert parfois un léger hâle, nombreuses taches de rousseur.
• Phototype III : peau claire à mate, brûle parfois, bronze toujours (bronzage moyen), quelques taches de rousseur.
• Phototype IV : peau mate, ne brûle jamais, bronze toujours (bronzage foncé), pas de taches de rousseur.
• Phototype V : peau brune, ne brûle jamais, bronze toujours (bronzage très foncé), pas de taches de rousseur.
• Phototype VI : peau noire, ne brûle jamais, pas de taches de rousseur.

La pigmentation du bronzage correspond à une réaction d’adaptation de la peau à l’exposition aux rayons solaires. La stimulation de la production de la mélanine dite mélanogénèse est un mécanisme régulateur de photoprotection.
Suivant les types de peaux et les ethnies, la répartition de la mélanine dans le tissu cutané est différente. Les peaux sont très inégales face au Soleil. Les peaux mates et surtout les noires sont riches en substances mélanogènes et supportent mieux l’exposition au Soleil que les peaux claires. Selon le teint, la couleur des cheveux et des yeux, les sujets sont classés en différents phototypes.


En résumé

  • Limitez les expositions, notamment lorsque le soleil est le plus haut dans le ciel, soit entre 12h et 16h, et même si vous appliquez une crème solaire.
  • Privilégiez des vêtements amples et légers à manches longues et fluides. Le vêtement reste en effet la meilleure protection contre les UV.3» Couvrez-vous la tête avec un chapeau à larges bords ou une casquette pour protéger vos yeux, votre crâne et votre visage.
  • Portez des lunettes de soleil enveloppantes avec une filtration conforme aux recommandations de la Commission européenne (types 1, 2 ou 3). Et n’oubliez pas que le type 4, recommandé lors des forts ensoleillements, n’est pas compatible avec la conduite automobile !
  • N’exposez jamais un bébé de moins d’un an au soleil. Il risque brûlures et déshydratation.
  • Les enfants doivent porter en permanence un vêtement et de la crème pour éviter les coups de soleil. Les coups de soleil reçus dans l’enfance représentent en effet l’un des principaux facteurs de risque de cancer cutané à l’âge adulte.
  • Une bonne crème solaire. En plus des protections précédentes et avec un indice élevé adapté à votre type de peau. Les crèmes solaires doivent être appliquées fréquemment (toutes les deux heures) et en quantité suffisante, dos, nuque et oreilles comprises.
  • N’oubliez pas de mettre de la crème solaire pour vous baigner et sous votre parasol car l’eau et le sable réverbèrent les rayons du soleil et les amplifient.9» Protégez-vous aussi lorsque vous faites du sport ou une marche en plein soleil. Il n’y a pas que sur la plage que vous êtes exposé au soleil.
  • Respectez un programme d’exposition progressive et limitée.

 

N’oubliez pas

  • Le parasol ne protège pas intégralement des rayons du soleil.
  • Certains médicaments, parfums, déodorants et autres cosmétiques peuvent provoquer des allergies ou des brûlures en réaction au soleil.
  • Les compléments alimentaires et de nombreux autobronzants donnent un teint hâlé mais ne protégent pas des dangers du soleil.
  • L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) déconseille l’usage des dispositifs de bronzage artificiel car ils augmentent la dose d’UV reçue par la peau.

Source l’internaute.com-Sécurité Solaire